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Faut-il mettre des mezouzot ?


Dans cette étude, nous verrons comment la mezouzah rabbinique est une tentative peut-être bien intentionnée d’obéir aux commandements d’Elohim, mais comment c’est en fait une amulette de maison.

La main Kabbalistique Hamsa
Dans l’ancien Moyen-Orient, les gens pensaient que le monde était habité par de nombreux dieux invisibles. On a estimé qu’il était nécessaire d’apaiser ces dieux en les priant, en leur faisant des statues, en leur offrant de l’encens , etc... Et en fait, les amulettes sont courantes dans le judaïsme. Un exemple est la main kabbalistique Hamsa , qui est souvent affichée dans les maisons et les lieux de travail juifs (et musulmans).

Les juifs et les musulmans considèrent que la main Hamsa offre une protection contre le mauvais œil, mais ils définissent le terme différemment par rapport à nous. Nous les nazaréens croyons que le mauvais œil fait référence à la cupidité, comme lorsqu’on refuse de payer la dîme ou qu’on a le cœur dur envers un frère dans le besoin. Par exemple, considérez le contexte financier de l’enseignement de Yeshoua dans les Béatitudes, où un bon œil indique la générosité, et un mauvais œil indique l’avarice et la cupidité.

Mattityahu (Matthieu) 6:19-24
19 Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où la teigne et la rouille détruisent, et où les voleurs percent et dérobent ;
20 mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où la teigne et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent.
21 Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur.
22 L’œil est la lampe du corps. Si ton œil est en bon état, tout ton corps sera éclairé ;
23 Mais si ton œil est mauvais, tout ton corps sera ténébreux. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, combien seront grandes ces ténèbres !
24 Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l’un, et aimera l’autre ; ou il s’attachera à l’un, et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Elohim et Mamon.

En revanche, les juifs et les musulmans pensent que le mauvais œil est un dommage cosmique généré lorsque quelqu’un les regarde avec colère. Ils croient que l’affichage d’une main de Hamsa dans leur maison ou leur bureau les protégera de tout mal qui résulterait d’être regardé fixement chaque fois que quelqu’un « leur donne le mauvais œil ».

La main de Hamsa remonte à l’ancien Irak (c’est-à-dire Babylone), où l’image d’une main droite ouverte symbolisait la déesse Ishtar ou Inanna. Elle est aussi appelée Vénus, Aphrodite et la Reine du Ciel. L’œil c’est l’œil qui voit tout d’Horus.

La main Hamsa est clairement idolâtre, car elle attribue un pouvoir spirituel à un objet de la création, plutôt qu’au Créateur. Il honorait également à l’origine des divinités autres que Yahweh (par exemple, Ishtar, Aphrodite et Horus). Alors, comment a-t-elle pu trouver sa place dans le judaïsme ?

L’approche orthodoxe de la sanctification est légaliste et mécanique. Ils ne cherchent pas à être remplis de l’Esprit de Yeshoua et à laisser Son Esprit se manifester à travers eux (comme nous le faisons). Au contraire, ils étudient attentivement les opinions complexes (et souvent contradictoires) des rabbins du Talmud qui ont rejeté Yeshoua il y a deux mille ans. Ensuite, ils essaient de conformer leur vie au Talmud de manière à ce que les anciens rabbins l’approuvent. Cela peut conduire à ce que l’on appelle un état d’esprit de check-list.

Avec un état d’esprit de check-list légaliste, quand on fait toutes les choses approuvées et qu’on évite tout ce qui n’est pas approuvé, on croit alors qu’on est justifié en toute sécurité devant Elohim. Et avec ce même état d’esprit, on peut aussi suivre les anciens maîtres kabbalistiques, car ils sont tout aussi légalistes.Avec une vision du monde basée sur le légalisme et l’état d’esprit de check-list, on peut facilement penser qu’il n’y a aucune interdiction de placer une main Hamsa kabbalistique dans sa maison ou son bureau, puisque le Talmud parle bien des amulettes, et puisque ces amulettes non seulement guérissent, mais offrent également une protection contre les forces démoniaques.

Nos rabbins ont enseigné : Qu’est-ce qu’une amulette approuvée ? Celle qui a guéri [une fois], une deuxième fois et une troisième fois ; que ce soit une amulette écrite ou une amulette de racines végétales, que ce soit pour un invalide dont la vie est en danger ou pour un invalide dont la vie n’est pas en danger. [Il est permis] non [seulement] pour une personne qui a [déjà] eu une crise d’épilepsie, mais même [simplement] pour la conjurer.
[Talmud de Babylone, Shabbat 61a, Soncino]

Malheureusement, l’effet réel est exactement le contraire : l’utilisation de la main Hamsa ouvre la porte à l’esprit d’Ishtar (Ashtoreth, la reine du ciel) et d’Horus (avec l’œil qui voit tout). D’autres amulettes ouvrent la porte à d’autres esprits impurs.

Amulettes personnelles et amulettes de maison
Dans le chapitre sur les téfilines (phylactères), nous avons vu qu’il était courant dans les cultures babyloniennes, grecques et romaines de porter des amulettes. Il était également courant de mettre une amulette (comme la main de Hamsa) dans sa maison. On pensait que l’amulette de la maison protégerait tout le monde dans la maison (qui dans les temps anciens était généralement les femmes, les enfants et les personnes âgées). On pensait que l’amulette de la maison protégerait tout le monde non seulement à l’intérieur de la maison, mais aussi tout le monde sur la propriété.

Si un homme quittait la propriété pour aller au travail ou à la guerre, il pouvait porter une amulette sur son corps, pour une protection mobile. Comme nous l’expliquons dans le chapitre sur les téfilines, nous pensons que c’est de là que viennent les téfilines. (Nous pensons également que c’est la vraie raison pour laquelle seuls les hommes portent des téfilines dans le judaïsme traditionnel, c’est que généralement les femmes et les enfants restaient à la maison et n’avaient pas besoin d’amulette mobile.)

Alors, qu’en est-il de la mezouzah ? Est-ce aussi une amulette ? Ou est-ce un rappel légitime d’obéir aux paroles de Yahweh ?

Amulette de la maison : du sang sur les poteaux de la porte
L’idée de mettre quelque chose sur les montants de nos maisons pour protéger les occupants des forces spirituelles nuisibles ne commence pas avec la mezouzah. Au contraire, Israël a reçu l’ordre de mettre du sang sur les montants de ses portes au moment de la première Pâque comme un signe à Yahweh (ou à son messager) de passer par-dessus sa maison.

Shemote (Exode) 12:7
7 On prendra de son sang, et on en mettra sur les deux poteaux et sur le linteau de la porte des maisons où on le mangera.

Shemote (Exode) 12:13
13 Le sang vous servira de signe sur les maisons où vous serez ; je verrai le sang, et je passerai par-dessus vous, et il n’y aura point de plaie qui vous détruise, quand je frapperai le pays d’Égypte.

Le sang servait effectivement de protection spirituelle, mais c’était une couverture commandée par Yahweh momentanément, donc c’était bien. C’est-à-dire que c’était bon parce que c’était fait en obéissance à la parole de Yahweh. Ce passage définit donc la norme par laquelle toutes les amulettes doivent être jugées : sont-elles faites conformément à la parole de Yahweh ? Ou ne le sont-elles pas ? Ce sont des questions d’une grande importance, car quel que soit le commandement que nous suivons, c’est celui que nous servons en fin de compte (que ce soit Yahweh, les rabbins ou un esprit démoniaque).

Bases de la mezouzah traditionnelle
Le terme mezouzah ( מְזוּזָה ) signifie techniquement montant de porte. Le pluriel de mezouzah est mezouzot ( מְזוּזוֹת ).

Lorsque la plupart des gens pensent à une mezouzah, ils pensent au boîtier décoratif. Cependant, le boîtier contient également un morceau de parchemin à l’intérieur, sur lequel deux passages de l’Écriture sont écrits. Ce sont Deutéronome 6 :4-9 et Deutéronome 11 :13-21. Les deux passages contiennent l’ordre d’écrire les paroles de Yahweh sur nos montants de porte et sur nos portes (versets 6 : 8 et 11 : 18, respectivement).

Devarim (Deutéronome) 6:4-9
4 Écoute, Israël ! Yahweh, notre Elohim, est le seul Yahweh.
5 Tu aimeras Yahweh, ton Elohim, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force.
6 Et ces commandements, que je te donne aujourd’hui, seront dans ton cœur.
7 Tu les inculqueras à tes enfants, et tu en parleras quand tu seras dans ta maison, quand tu iras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras.
8 Tu les lieras comme un signe sur tes mains, et ils seront comme des fronteaux entre tes yeux.
9 Tu les écriras sur les poteaux de ta maison et sur tes portes.

Devarim (Deutéronome) 11:13-21
13 Si vous obéissez à mes commandements que je vous prescris aujourd’hui, si vous aimez Yahweh, votre Elohim, et si vous le servez de tout votre cœur et de toute votre âme,
14 je donnerai à votre pays la pluie en son temps, la pluie de la première et de l’arrière-saison, et tu recueilleras ton blé, ton moût et ton huile ;
15 je mettrai aussi dans tes champs de l’herbe pour ton bétail, et tu mangeras et te rassasieras.
16 Gardez-vous de laisser séduire votre cœur, de vous détourner, de servir d’autres elohim et de vous prosterner devant eux.
17 La colère de Yahweh s’enflammerait alors contre vous ; il fermerait les cieux, et il n’y aurait point de pluie ; la terre ne donnerait plus ses produits, et vous péririez promptement dans le bon pays que Yahweh vous donne.
18 Mettez dans votre cœur et dans votre âme ces paroles que je vous dis. Vous les lierez comme un signe sur vos mains, et elles seront comme des fronteaux entre vos yeux.
19 Vous les enseignerez à vos enfants, et vous leur en parlerez quand tu seras dans ta maison, quand tu iras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras.
20 Tu les écriras sur les poteaux de ta maison et sur tes portes.
21 Et alors vos jours et les jours de vos enfants, dans le pays que Yahweh a juré à vos pères de leur donner, seront aussi nombreux que les jours des cieux le seront au-dessus de la terre.

Accomplissement littéral ou métaphorique ?
Dans l’enseignement sur les téfilines nous avions vu que le commandement de mettre ces paroles entre nos yeux était à prendre au sens métaphorique. 

Cependant Yahweh nous commande d’écrire ses paroles et ses commandements sur les poteaux de nos maisons et sur nos portes. Ici il est plus difficile de savoir s’il parle métaphoriquement ou littéralement.

Effectivement il y a certains commandements qui sont évidemment destinés à être pris métaphoriquement, et nous ne devrions pas essayer de les accomplir littéralement. Par exemple, quand Elohim nous dit de circoncire le prépuce de nos cœurs, nous ne devrions pas essayer de le faire dans un sens physique (et en fait c’est impossible, car le cœur n’a pas de prépuce). Yahweh attend de nous que nous comprenions ces types de commandements métaphoriquement et que nous les accomplissions dans le sens métaphorique.

Devarim (Deutéronome) 10:16
16 Vous circoncirez donc votre cœur, et vous ne raidirez plus votre cou.

Le problème c’est que pour écrire tous les commandements de Yahweh, une porte n’est pas vraiment suffisante. Cela reviendrait à coller tous les parchemins de la Torah sur toutes nos portes. A l’époque tout le monde n’avait pas une Torah à la maison, les copies étaient seulement destinées à quelque personne. Et ces personnes ne s’amusaient pas forcément à coller leurs parchemins sur les portes de leur maison.

Le problème avec la mezouzah, c’est qu’on ajoute au commandement, on attache un objet sur les montants de porte. Beaucoup de juifs adorent cet objet, et l’embrassent quand ils entrent ou sortent de chez eux.

La mezouzah a plusieurs défauts. D’une part nous n’écrivons pas nous même sur nos portes, on paye quelqu’un pour le faire. De plus, dans la mezouzah nous ne voyons pas la parole d’Elohim, nous voyons un objet, ce qui n’a plus rien à voir avec le commandement. Et puis dans la mezouzah nous n’écrivons pas tous ces commandements comme le demande les passages de Deutéronome 6 et 11. Dans ces commandement, le mot Mezouzah veut dire « montant de porte » il ne veut pas dire objet de petite taille contenant un parchemin et pouvant protéger la maison. Il y a donc un gros ajout à la parole d’Elohim, comme le font souvent les rabbins.

Devarim (Deutéronome) 4:2
2 Vous n’ajouterez rien à ce que je vous prescris, et vous n’en retrancherez rien ; mais vous observerez les commandements de Yahweh, votre Elohim, tels que je vous les prescris.

Légalisme, kabbale, le Zohar et les amulettes de la maison
Il y a eu une grande discussion à l’intérieur du judaïsme après l’attaque terroriste de 1974 à Ma’alot, en Israël. Les membres de la secte Chabad Loubavitch ont fait circuler une brochure intitulée, The Five Point Mitzvah Campaign. Cette brochure disait que la raison pour laquelle Israël était vulnérable au terrorisme était que les « défenses » spirituelles de la nation étaient en panne parce que trop de gens ne suivaient pas les règles rabbiniques pour les mezouzot cashers. Cette brochure appelait tous les Juifs à rassembler les « défenses » spirituelles de la nation juive en obéissant aux règles rabbiniques pour les mezouzot cashers. Les mezouzot collectifs de la nation étaient également assimilés à des «casques», et il a été déclaré que la «stratégie militaire» devrait être d’accomplir exactement les rites rabbiniques de mezouzot cashers, afin d’améliorer les «défenses» de la nation. Cela a généré beaucoup de discussions dans le judaïsme, mais ce n’est pas vraiment surprenant quand on se rend compte que la secte Chabad Loubavitch suit la kabbale, et la kabbale enseigne que des effets protecteurs magiques semblables à des amulettes sont magiquement accordés à ceux qui exécutent les versions rabbiniques des commandements de Yahweh. C’est-à-dire que la kabbale nous dit que nous sommes automatiquement protégés divinement lorsque nous exécutons les commandements de la manière dont les rabbins disent de les faire. (Ceci, bien sûr, est une farce, mais le fait est qu’il n’est pas trop surprenant de l’entendre étant donné la mentalité de check-list légaliste du judaïsme.)

Puis, après le raid de 1976 sur Entebbe, une branche étudiante du Chabad a fait circuler un dépliant suggérant que le terrorisme avait été possible principalement parce que les victimes n’avaient pas suivi les règles rabbiniques pour les mezouzot casher.

Une mezouza casher sur vos montants de porte fait non seulement de votre maison une demeure pour la divinité, mais est également votre mesure de sécurité même après avoir quitté la maison pour la journée. Et puisque tous les Juifs forment un grand corps, cela augmente la sécurité de toute la nation juive. En raison du fait que la plupart des mezouzot dans les maisons des otages, après examen, se sont révélées défectueuses, mal placées ou non sur chaque montant de porte, tous les Juifs doivent vérifier leur mezouzot immédiatement.
[Juifs et Miracles, Organisation étudiante Chabad Loubavitch, Morristown, NJ, États-Unis]

Le dépliant indique clairement que les Chabad considèrent la mezouzah comme un type d’amulette de maison magique. Ils considèrent également qu’il existe une protection nationale « amulette de troupeau » à gagner lorsque tous les Juifs obéissent aux règles rabbiniques pour les mezouzot « casher ».

La perception selon laquelle les mezouzot «casher» remplissent une fonction d’amulette protectrice magique se retrouve également dans la littérature mystique de l’époque médiévale. Par exemple, on le trouve dans des ouvrages kabbalistiques tels que le Zohar et le Sefer Raziel.

Talmudisme classique et comportements de check-list
Après les publications Chabad, plusieurs érudits talmudiques juifs notables ont protesté contre le fait que le Talmud n’attribue pas de pouvoirs magiques aux mezouzot. Cependant, ces protestations ne sont pas entièrement satisfaisantes, car le Talmud mentionne fréquemment les amulettes et les téfilines ensemble, et mentionne également les téfilines et les mezouzot ensemble. Ainsi, les amulettes, les téfilines et les mezouzot sont tous effectivement liés.

Raba a observé : Quelqu’un se donne-t-il la peine de fabriquer une amulette en forme de tefillin ? Pourtant, nous avons appris : CELA S’APPLIQUE AUX ANCIENS MAIS DANS LE CAS DES NOUVEAUX IL EST EXEMPTÉ !
[Talmud de Babylone, Eiruvin 96b, Soncino]

Et:

QUANT À CEUX QUI SE TROUVENT DANS LA RANGÉE, CEUX À L’INTÉRIEUR SONT EXEMPTÉS, MAIS CEUX À L’EXTÉRIEUR NE SONT PAS EXEMPTÉS. [LES FEMMES, LES ESCLAVES ET LES MINEURS SONT EXEMPTÉS DE RÉCITER LE SHEMA ET DE METTRE LES TEFILLINES, MAIS SONT SOUMIS AUX OBLIGATIONS DE TEFILLAH, DE MEZOUZAH ET DE GRÂCE APRÈS LES REPAS.
[Talmud de Babylone, Berachot 17b, Soncino]

Les érudits talmudiques ont fait valoir à partir de sources ultérieures que le seul rôle légitime de la mezouzah était de rappeler de garder toutes les paroles et tous les commandements d’Elohim, et qu’elle n’avait aucun pouvoir magique inhérent en tant qu’amulette. Cependant, le fait que le Talmud mentionne fréquemment les amulettes et les téfilines ensemble, et mentionne également les téfilines et les mezouzot ensemble rend les amulettes et les mezouzot liées. Cela ouvre également la porte à l’idée de la mezouzah comme amulette rituelle de la maison (et la kabbale l’exploite ensuite).

Que devrions nous faire?
On pourrait plaider en faveur de l’utilisation de la mezouzah rabbinique uniquement comme un rappel d’obéir à toutes les paroles et commandements de Yahweh, mais cet argument échoue parce que le commandement est donné comme une métaphore, et il n’est pas juste d’essayer d’accomplir un commandement métaphorique d’une façon littérale. 

La mezouzah juive pose plusieurs problèmes. Car personne n’écrit vraiment sur ces portes, c’est un scribe qui le fait à votre place. D’autre part, quand nous regardons une mezouzah, nous ne voyons pas la parole écrite sur nos portes, nous voyons un objet. Si on veut vraiment obéir à ce commandement littéralement, on devrait au moins écrire directement la parole sur le montant de nos portes et pas sur un parchemin.

Et puis pour finir, les juifs disent que cet objet apporte protection et longue vie, ce qui est clairement un encouragement à l’idolâtrie et de mettre sa foi dans le matériel, plutôt que le spirituel.

Les mezouzot partagent également trop de choses en commun avec les amulettes des maisons anciennes et d’autres amulettes du judaïsme (comme la main de Hamsa).

Pour éviter la possibilité d’idolâtrie involontaire, nous devrions chercher à accomplir le commandement de Yahweh d’écrire toutes ses paroles et commandements sur nos portes d’une manière métaphorique (spirituelle).

Cet enseignement est issu du cours « Why We Do Not Use the Mezuzah » de Norman Willis

 

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